18-Jeri

Sea, sun, sand, surf, wind

Jericoacoara ou Jeri pour les intimes est la station qui monte, rendez-vous des voyageurs du monde entier à cause de son isolement ( loin au nord du pays et accessible après 25 km de piste sablonneuse), ses dunes qui se jettent dans l'océan, son site parfait pour les adeptes de planches à voile et de kite-surf, et son ambiance animée.

Pourtant à première vue en arrivant, ce n'est pas frappant : du vent fort, du sable qui s'insinue partout,  une chaleur écrasante, une ambiance western serie B.

En pénétrant à l'intérieur du village l'ambiance est toute autre: une ambiance feutrée, pas de voitures hormis les taxis, rues de sable, pas de lampadaires, aucun cable apparent, un front de mer ombragé, des windsurfeurs et surfeuses de toutes nationalités, des pousadas ( hotels) sympatiques, et en front de mer, une ambiance décontractée et branchée avec musiques à la mode.

Nous y avons rencontré un jeune compatriote et sa compagne brésilienne. Parti pour un tour du monde, il est resté à Jeri où depuis 4 ans il donne des cours de windsurf, 5à6h par jour en pleine saison, essentiellement à des français venus en vacances ici suite à divers reportages sur Thalassa et autres émissions de voyages.

Un des "must" de Jeri est d'admirer le coucher du soleil depuis le sommet de sa grande dune, cérémonial regroupant tous les soirs des dizaines, voire des centaines de personnes essayant d'apercevoir un fugace rayon vert lorsque le soleil disparait à l'horizon.

Jeri , c'est un petit endroit ( 3000 habitants et 5 rues) de rêve pour les adeptes du kite et du windsurf grâce à un vent de travers et un soleil permanents ou presque.

 

Prea, petit village cotier à 15km de piste de Jeri, rappelle ce qu'était Jeri avant son entrée dans le monde de la jeunesse cosmopolite surfeuse, à savoir un petit village de pécheurs dont les voiles de leurs barques forment un spectacle coloré, mais dont les pêches sont loin d'être miraculeuses.  

 

Farouche dit son mot en BP6

 

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